Rédigé à 14:02 dans Définitions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
D'après le JDN, "Un mashup (ou Application composite) désigne un site Web combinant plusieurs applications Web pour créer un nouveau service . Il s'agit ainsi par exemple d'agréger des contenus provenant d'autres sites. Ces applications tierces sont mises à disposition par le biais d'API, interfaces de programmation, autorisant l'extraction et le traitement d'informations.
De nombreux éditeurs fournissent des API libres afin d'inciter les développeurs à concevoir des mashups exploitant leur contenu. C'est le cas des principaux acteurs de l'Internet, tels Google (avec notamment le service de géolocalisation de Google Earth), Yahoo, Amazon, eBay ou Microsoft. "
Et si vous n'êtes pas informaticien, vous pouvez quand même faire des "mashups de contenu": en mixant des musiques différentes ou en changeant les paroles/sons d'une vidéo. Voici 2 exemples:
Autre exemple (merci Hug):
On radote mais: avec le WEB 2.0 et la "free culture", l'internaute est acteur. Il peut créer, participer, parodier, commenter, diffuser...
Nael
Rédigé à 17:08 dans Définitions, Marketing Collaboratif ou Cocreatif, WEB 2.0 | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Sony, Nokia, Apple, Microsoft, Orange, des noms qui sonnent bien et rappellent tous un univers qui nous semble familier, à force de matraquage dans les journaux, sur le web ou à la télévision. Et bien connaissez-vous l’origine du mot marque ? Il vient tout simplement des prostituées. Celle-ci, malignes, utilisaient les talons de leurs chaussures pour marquer leurs initiales, et y mettaient une poudre laissant des traces sur le sol. Stratégie qui permettait à leurs clients réguliers, de les retrouver facilement, dans leur zone d’achalandise. Et ces 2 lettres sur leur talon s’appelait leur « marque » ! Etonnant, non ?
Récemment d’ailleurs l’UMP a eu la même idée (je pense, sans faire de parallèle, du moins j’espère) en distribuant des tongs sur les plages, incrustées sous la semelle d’un logo UMP, qui laissaient ainsi des traces UMP par tous les personnes qui les portaient en marchant sur le sable. Les plages furent donc envahies de logos UMP.
Ah, ils sont forts pour le buzz marketing ces politiques ! Fred
Rédigé à 23:00 dans Buzz Marketing, Définitions | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Je parlais de Procter, il y a quelques semaines, afin de vous faire découvrir l’undercover marketing. (sites web www.vocalpoint.com et www.tremor.com) Et bien, le lessivier vient d’inventer un nouveau terme marketing, le Fmot (prononcez F-Motte), «first moment of truth». Autrement dit, le «premier moment de vérité»... Dix secondes, c’est le temps nécessaire à un individu normalement constitué pour, au choix, lacer ses chaussures, taper un numéro de téléphone, ou réajuster sa coiffure avant un rendez-vous. C’est aussi le temps moyen qu’il met pour choisir un produit dans un rayon d’hypermarché.
Cet instant décisif, dont la durée varie de deux secondes pour son dentifrice favori à deux minutes quarante secondes pour une bouteille de vin, est la nouvelle obsession de Procter & Gamble. Procter a donc envoyé une armée de Proctériens étudier les hypers ces derniers mois afin de trouver comment réorganiser le positionnement de leurs produits dans les rayons. En d’autres termes, ils ont sont en train de chercher comment faire en sorte que pendant ces 10 secondes, le consommateurs achète en priorité un produit Procter. Vont t’ils trouver l’équation miracle? Je vous laisse répondre, mais désormais, méfiez-vous du Fmot. Fred
Rédigé à 11:04 dans Définitions | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Selon Chris Anderson, rédacteur en chef du magazine Wired, sur la plate-forme musicale Rhapsody, qui propose plus de 735 000 titres en streaming sur abonnement, les 400 000 premiers titres sont tous streamés au moins une fois par mois. Dès qu’un nouveau titre est intégré dans la base de données de Rhapsody, il trouve un public, même s’il ne s’agit que de quelques personnes par mois. Anderson démontre donc que la somme des demandes de niche n’est pas négligeable, face aux hits, best-sellers et flots de nouveautés qui concentrent l’essentiel des ventes et de l’attention. Il prend le pari que la somme des petites diffusions est plus intéressante, à terme, que le tout-venant.
C’est la théorie de la « longue traîne » (« long tail » en anglais), incontournable lorsqu’on souhaite vendre du contenu en ligne. Cette théorie s’applique également à d’autres activités basées sur le web : Google tire la majorité de son chiffre d’affaires des petits annonceurs, tout comme eBay avec les produits de niche ou uniques. Dans le monde physique, c’est plus difficile. Wal-Mart, par exemple, pour couvrir ses coûts de distribution et réaliser un bénéfice suffisant, ne peut référencer que des CD dont le potentiel de vente s’élève à au moins 100 000 exemplaires. Ce qui va resteindre le choix du pauvre consommateur. Vive la diversité, vive Internet.
Qu’en pensez-vous ? Fred
Rédigé à 11:00 dans Définitions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
"Space Invader" ? Mais si, vous le connaissez, ce jeu! Souvenez-vous, c'était en 1979. Vous contrôliez un petit vaisseau qui devait tirer sur des monstres qui descendaient bien en rang du haut de l'écran sur votre console ATARI. Ok, vous vous souvenez à présent ?
Bon, et bien figurez-vous que les space invaders ne sont pas morts ! Et non !
Ils ont été rescussités par un nostalgique qui colle de petites mosaïques un peu partout dans Paris. Et le phénomène a pris de l'ampleur, si bien qu'on en retrouve maintenant dans le monde entier.
Vous verrez, il y en a beaucoup de caché dans les rues de Paris, et maintenant vous les reconnaitrer !! ça y est.... vous faites partie des initiés :-)
Alors afin de vous entraîner à la chasse aux "Space Invader", essayez de trouver le Space Invader sur la photo ci dessous.
Pour plus d'informations, visitez le site des space invaders
Merci à Antoine pour cette super idée de post. Fred.
Rédigé à 10:14 dans Blog Marketing, Buzz Marketing, Définitions, Marketing Viral, Podcast video people, Street Marketing, Technologies/Gadgets | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
" Nous allons crowdsourcer notre réseau social en proposant un mashup qui permettra aux blogueurs syndiqués de taguer nos podcasts afin de tirer la quintessence de notre long tail. Une API ajax sera également proposée."
Si vous n'avez rien compris à cette phrase, le JDN (Journal du Net) vous propose son dictionnaire illustré du Web 2.0: on a testé! C'est complet et bien expliqué. Cliquez là!
Rédigé à 13:04 dans Définitions, WEB 2.0 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Combien d'emails publicitaires, envoyés par des entreprises à qui vous n'avez rien demandé, recevez-vous par jour? Probablement pleins! Combien en ouvrez-vous? Sûrement peu! Vous arrivent-t-il de cliquer sur les liens qu'ils vous donnent? Nous en tout cas: très rarement!
Et ça va encore S'EMPIRER pour ces sociétés aux méthodes marketing d'un autre temps où il suffisait de louer une base de 100.000 emails et de spammer d’honnêtes citoyens. Plusieurs études récentes montrent que les fameux « taux d’ouverture » et autre « taux de clic » chutent ! Trop (de emails), c'est trop: désormais, les filtres anti-spams sont techniquement au point et nous avons appris à ne plus perdre notre temps avec de la publicité de masse, non ciblée et se moquant de nos vrais attentes.
L'avenir, on n’arrête pas de le dire, est à la communication CtoC, c’est à dire « inter-consommateurs » et non pas à la communication de masse de papa "entreprises vers consommateurs" (alias BtoC).
C'est ça le buzz marketing: il faut que les entreprises fassent preuve de créativité et d’originalité pour lancer un buzz en proposant des supports publicitaires ( films, musiques, jeux ou images) originaux qui, si elles plaisent à un premier échantillon de personnes (les e-influenceurs, early-adopters, leaders d'opinion ...) se propageront au plus grand nombre. Vous en pensez quoi?
Rédigé à 16:43 dans Définitions | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Un geek (terme anglais) est une personne passionnée, voire obsédée, par un domaine précis. À l’origine, en anglais le terme signifiait « fada », soit une variation argotique de « fou ». D’abord péjoratif il est maintenant redevenu à la mode, surtout dans le monde informatique/internet ou il caractérise une personne technophile, adepte des nouveautés. Les personnes les plus compétentes dans un groupe ou une entreprise sont parfois même appelées alpha geek, et parle un jargon informatique qu’eux seuls comprennent ! Alors, êtes vous geek ou plutôt vieux jeu papier crayon, agenda non électronique ?
Rédigé à 20:27 dans Définitions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Qu’est-ce que le web 2.0 ?
Malgré ses nombreuses définitions, le Web 2.0 reste un concept flou, ce qui accentue son mystère, son charme et le buzz généré à son sujet.
Voilà près de 10 ans que l'internet que nous connaissons est apparu. En 10 ans, que s'est-il passé ? Finalement pas grand chose. Avant 2000, il suffisait de marquer le nom « Internet » sur un Business Plan pour lever des millions. Aujourd’hui pour relancer l’Internet et les idées novatrices des start-up, il fallait donc innover. Le 2.0, sous ses allures de révolution, redonne un peu de souffle à la toile. Les Wiki, les blogs et le 2.0 animent les débats et font s’exiter les Business Angels.
Il y a 3 mois, j’étais membre du jury d’HEC Entrepreneur, et pas un étudiant n’a oublié de se servir des blog, wiki et 2.0 pour optimiser la stratégie de communication de leurs projets.
Mais que permet le web 2.0 ? En réalité, il rend tout simplement l’Internet 1.0 plus simple, interactif et réactif :
- moins de clics (grâce à l'utilisation du drag & drop…)
- plus d'informations affichées à l'écran (à l'aide des panneaux dépliant et autres layers)
- moins de temps de chargement (en ne faisant circuler que les données et pas l'interface à chaque fois).
Pour permettre de telles évolutions, de nouveaux langages sont apparus, comme l’AJAX, évolution du javascript permettant de créer des interfaces comme celle de www.flyckr.com , qui permet d’agencer ses photos en ligne d’une manière tellement simple et rapide (drag and drop), que yahoo photo fait figure d’ancêtre… Et ça tombe bien, car flyckr est un service Yahoo !
Le Web2.0 utilise également les tags, qui sont de plus en plus à la mode sur des sites internet comme www.jamendo.com, www.flyckr.com, www.wikio.com … En réalité, les tags permettant de réaliser des recherches encore plus rapides et précises, y compris sur des photos. Par exemple, sur flyckr, si je dépose une photo de Madonna devant l’arc de triomphe, je pourrais la taguer Madonna Arc de Triomphe. Toute personne tapant dans le moteur de rechercher madonna arc de triomphe tombera sur ma photo. En réalité, par les tags, je peux référencer mon contenu.
Alors, pour conclure, Web 2.0 = évolution ou révolution ? Evolution sans aucun doute. Mais évolution nécessaire pour faciliter la vie des internautes :
- en rendant les recherches sur Internet plus efficaces, notamment sur des médias comme les images, musiques ou vidéos (car les internautes référencent leur propre contenu)
- en permettant aux internautes de disposer leur contenu en ligne, comme ils le souhaitent, en toute simplicité, grâce à des interfaces évolutives
Un premier exemple résume ce que je viens de vous dire. La société Netvibes, fondée en 2005 par deux associés dont Tariq Krim, créateur de Generation MP3, est l'une des premières sociétés Web 2.0 françaises. Elle a levé des fonds (sans doute en faisant rêver les investisseurs) et son site web www.netvibes.com cartonne. De l'avis de la plupart des analystes, le concept est prometteur : une page d'accueil entièrement presonnalisable, à partir de flux RSS, de Webmails et de moteurs de recherche.
Mais Netvibes résume à lui seul les ambiguités du Web 2.0 : pour le moment, la société ne dispose pas encore de sources de revenus régulières. L'heure est encore à la maximisation de l'audience. Mais n'étais-ce pas le même problème que connaissaient les premieres start-up Internet...
Rédigé à 17:57 dans Définitions | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)